Saison 4 : Cordialement vôtre - Les demoiselles du Vésinet
Avec :
Jean-Claude BOUILLON : Commissaire VALENTIN
Jean-Paul TRIBOUT : Inspecteur PUJOL
Pierre MAGUELON : Inspecteur MAGUELON
François MAISTRE : Monsieur FAIVRE
Scénario, adaptation et dialogues de Claude DESAILLY
Réalisation de Victor VICAS
Musique de Claude BOLLING Editions "Intersong Pigalle"
Générique "La complainte des apaches" (C. Bolling/R. Dijan)
Interprété par Philippe CLAY
Cordialement vôtre
En 1909, dans la perspective d’une guerre prochaine, Français et Britanniques ont décidé de construire ensemble un submersible plus efficace que ceux du Kaiser. Un ingénieur de l’Amirauté, William Husby, rejoint chez lui, en France, le chercheur Maxime Laubeuf, créateur du premier submersible moderne, le Narval. Alors que les deux savants discutent des qualités du sous-marin français, la secrétaire du Husby, Dorothy, est agressée. Une lettre menaçante, trouvée près d’elle, intime l’ordre à Husby de cesser toute collaboration avec les Français. L’ambassadeur britannique fait appel à Faivre pour protéger Husby. Deux hommes, dont le chef, Schultz, à l’accent allemand, surveille déjà la maison de Laubeuf, quand Valentin arrive. Dorothy signale qu’elle a remarqué deux hommes qui tournent autour de la propriété. Les hommes de la Brigade se concentrent dès lors sur Schultz et son ami. Après un rapide contact avec Schultz, Valentin et Pujol, de retour chez Laubeuf, découvre qu’Husby a été enlevé. Un officier allemand vient avertir celui-ci qu’il est chargé de le conduire en Allemagne pour empêcher une collaboration étroite entre la France et le Royaume-Uni. Valentin arrête Schultz et son ami pour découvrir qu’il s’agit en fait de deux détectives privées chargés par l’Amirauté de la protection de Husby. Schultz a cependant vu plusieurs fois Dorothy avec un homme auquel elle a remis deux grosses enveloppes en cachette. Alors que la secrétaire va partir, Valentin lui annonce qu’un des hommes qu’elle a vu rôder près de la maison est prêt à trahir ses complices. Le soir même Schultz est enlevé, ce qui confirme que miss Dorothy est dans le coup…
Les demoiselles du Vésinet
En 1913, au bord de l’eau, Madame Demellier, recherche son mari qui a disparu. Elle demande à deux vieilles femmes en bateau si elles l’ont vu. Elles lui répondent qu’elles n’ont rien vu. Lors de l’inauguration d’une stèle ornée d’un buste, le député disparaît. Les deux mêmes vieilles dames sont là. Les Brigades sont chargées de la recherche des deux hommes, tous les deux députés. Deux autres députés disparaissent en présence des deux mêmes vieilles femmes. Les députés sont de bords différents, ce qui exclut une vengeance politique. Madame Demellier, met Valentin sur la piste des deux veilles dames. Celles-ci viennent voir Faivre. Elles gardent les députés chez elle, avec l’aide de Schumacher, leur chauffeur. Elles les ont enlevés pour les garder jusqu’à ce que le Parlement vote une loi instituant le droit de vote des femmes. Leur maison a été minée par Schumacher. Les deux dames y reviennent avec Valentin. Les souris mises à part, rien ne fait peur aux deux vieilles dames, qui restent inflexibles dans leur demande. La maison est une véritable forteresse…